Un avion dans un paquet cadeau

Un avion dans un paquet cadeau

Cette année, j’ai trouvé un surprenant cadeau que j’ai trouvé au pied du sapin cette année : une séance de pilotage d’avion. Un cadeau de ma femme (qui n’est jamais en reste pour trouver des idées étranges) que je me suis empressé d’utiliser. Trois jours après l’avoir reçu, j’ai appelé le club de pilotage pour réserver une date ! Après un petit report à cause de vents trops violents, le week-end dernier, je me suis rendu à l’aérodrome avec ma dulcinée pour une journée très particulière. Nous avons rencontré Nicolas, un pilote avec dix ans d’expérience qui allait être mon instructeur du jour. Après qu’il nous ait donné un petit court théorique, puis nous avons rejoint l’appareil et je me suis installé côté pilote. Comme l’avion avait quatre places, la belle-famille a pu assister à mes débuts de pilote en tant que passagère. J’étais sûr que mon formateur allait gérer le décollage et de l’atterrissage, les deux phases plutôt compliquées. Mais en fin de compte, voyant que je n’étais pas inquiet, il a décidé que c’était à moi de tout faire ! Ce n’était pas inconscient de sa part : l’avion était conçu pour former les futurs pilotes : les commandes étaient donc doublées. Yannick pouvait ainsi corriger mes erreurs au moindre problème. Consultez notre page d’accueil pour en savoir plus sur bapteme en avion. Le décollage n’a posé aucun problème, en définitive. Lorsu’on a atteint une certaine vitesse, il suffit de ramener délicatement sur le manche vers soi, et c’est fini. Comme je l’ai découvert ce jour-là, les petits avions ont particulièrement une excellente maniabilité. En fait, j’ai même trouvé ça très facile à piloter. Dans le ciel, il faut prendre en considération une nouvelle dimension supplémentaire, mais dans le même temps, il n’y a en même temps ni obstacle ni de traffic. De sorte qu’on peut passer son brevet de pilote avant même d’avoir l’âge légal pour avoir le permis B ! Pour autant, piloter demande une grande concentration. Si l’appareil est maniable, il ne pèse pas lourd : la moindre bourrasque suffit à le faire tanguer. Il faut donc rattraper le coup avec le manche. Mais bon, ce n’est pas bien compliqué. Le seul moment un peu délicat, en définitive, pilotage avion a été l’atterrissage. A l’approche de la piste, Jean-Marc est intervenu pour modifier notre vitesse d’approche. Mais sinon, j’ai vraiment été seul aux commandes de A à Z. J’ai bien apprécié cette sympathique initiation au pilotage d’avion. Et au-dessus de cette campagne, la vue est en outre ravissante. Mille mercis à qui de droit pour ce moment !